Comment choisir le statut de son entreprise ?
Généralement, le statut d’une entreprise est confronté à sa forme juridique qui entraîne la position vis-à-vis de la fiscalité et du marché. Le statut d’entreprise doit être bien réfléchi avant son officialisation de manière à satisfaire autant les salariés que le patron, à court, à moyen et à long terme.
En quoi consistent les statuts d’entreprise et quels rôles ?
Le statut d’entreprise est le moyen légal et imposant pour relier l’entreprise, le chef d’entreprise, les salariés et les clients. Le statut d’entreprise désigne en effet les activités de l’entreprise sur lesquelles seront basées les droits et les obligations vis-à-vis de l’administration fiscale et juridique. Si vous rencontrez un quelconque problème juridique, vous pouvez faire appel aux huissiers du site tggv.fr.
D’une manière générale, l’on peut classer deux grandes formes, soit deux grands statut d’entreprise, en France, à savoir l’entreprise individuelle et la société. La forme juridique de l’entreprise va déterminer les détails du statut de l’entreprise. En tout cas, le rôle du statut de l’entreprise est de fournir les informations relatives à l’identité de l’entreprise, y compris la dénomination sociale, le siège social, le capital social, et l’objet social. Son rôle est également de définir les règles entre les associés, à savoir la tenue d’assemblée générale, le poids de chaque associé, la nomination de gérant, l’augmentation ou la réduction de capital, la dissolution de l’entreprise, etc. Pour la bonne marche des affaires, il faut bien choisir le statut d’entreprise qui convient.
Les choix de statut d’entreprise : quelles astuces
L’astuce est de se poser les questions nécessaires. Par exemple, le promoteur se demande s’il veut être salarié dirigeant de son entreprise, s’il veut la créer seul ou en associé, quel est le niveau d’investissement, quel patrimoine à protéger, etc. Une question bien posée amène une réponse raisonnable pour déterminer le choix du statut de l’entreprise. Il faut également se soucier de l’aspect psychologique où les clients cibles déterminent le choix parfait. Par exemple le statut d’entreprise individuelle ou EIRL ne permet pas de conquérir la fidélité de certains clients, d’où le choix de statut de sociétés civiles ou SARL ou de société par actions, etc. Rien n’est isolé, tout dépend de tous les paramètres : client, niveau d’investissement, secteur d’activité, etc.